Puzzle ou les regards

Nouvelle semaine de résidence à la cité Auriol, avec le plasticien jardinier Joël Thépault et les dessinateurs sur le motif, Placid et Laurent Lolmède. Un dialogue solitaire avec deux ou trois pages d’un dictionnaire de 1932, définitions et gravures, puis une frappe de deux jours en écoutant dix ou vingt voix voisines. Le poème se construit comme les pièces d’un puzzle, comme un frisson soufflé sur quelque pissenlit. Le poème retient les fleurs de chaos.

[Voir aussi dans la colonne ACTION et dans l’ordre chronologique : Gourmande, Avec eux, chez eux, pour eux, Abolir la question, En chantier enchantée, Encore délivre, Des nouvelles du coin, N’importe quoi sans doute pas n’importe comment, S’il vous plaît dehors, Ici nous repeuplons, La base de ruines et le champ vie, Maintenant, Pleine terre, Popopo (poésie politique et populaire), Le jardin de paille, La bombe orange, Le Voltijeune, Comme à la maison, Chamiers City une odyssée, Mission ça déménage, Art précaire, Le auvent,Fantôme fente homme, Sortir de la boue et Abrupt]