Quelque chose nous anime

Trois jours de présence au club des Acacias, quartier des cinq tours. Tu es dehors devant le centre social et culturel, dans une espèce d’espace un peu renfoncé, début de jardin partagé. Tu feras de la chrono-géographie et deux rencontres pour les histoires. Des objets trouvés mis en balançoires, des décalco bénévoles, des lettres noires d’enfants sur les couleurs de Paul Cox, merci pour les cartes postales de l’ancienne saison de théâtre des amandiers. On récupère. La poésie reprend les souvenirs, elle écoute le présent, on cherche les futurs désirables, aussi, forcément. À la fin un tableau de circonstances. Bio, participatif, visuel et sonore, comme une impro de jazz. L’atmosphère était douce, le lointain gronde, quelque chose nous anime encore ce matin.