Pendant ce temps

Roman-éclair, poésie pour la rue, heureusement il fait beau. Soixante-douze pages de 10 x 15 cm frappées à la machine, patafixées la semaine d’après sur un de ces placards urbains pour le gaz, à côté d’un camion de chantier. Ça parle de dromadaire et de soucis, de contingences meurtries, d’homo sapiens et d’envie de jouer. En passant tu m’as dit que tu aimais ça, que tu lirais chaque jour un peu en allant et en rentrant du boulot. Il reste des pages blanches, vas-y écris toi-même.